@Psykoteuse_mais pas que ! Super nouvelles ! 
Par contre en effet, ta gynéco était complètement à la ramasse là ... A la rigueur il n'y aurait eu que le "2ème IAC", bon ok, lapsus ou petite inattention ... Mais le coup de confondre stimulation simple et IAC, euh ... Je lui aurais aussi demandé de vérifier le nom sur le dossier patiente là
Tu as doublement carrément raison de ne pas suivre aveuglément ce qu'elle t'a dit pour le moment du déclenchement. (pour un peu qu'elle ait aussi oublié qu'on n'était pas mercredi ...)
A ta place j’appellerai le secrétariat pour poser la question (quitte à quand même suive ton idée ensuite si pas moyen d'échanger concrètement avec elle).
Sur "que faire le jour de l'IAC", clairement c'est psychologiquement que je pense avoir besoin d'être un peu au calme et d'en faire une journée plus axée sur moi que d'habitude. Et puis surtout, ma gynéco est à 10-15 minutes à pieds de chez moi, mais à 50 minutes en transports en commun du bureau ! Donc tant qu'il y a du télétravail, je ne vais pas me priver !
Pour l'éventualité d'un passage direct en FIV (ou du passage après quelques tentatives d'IAC), je suis entièrement d'accord avec toi, pour moi (à ce stade où je ne fais qu'envisager les choses, une fois qu'on le vit c'est peut-être très différent évidemment!) le plus pénible c'est toute la phase de stimulation, donc même si la ponction ça vient rajouter une lourdeur supplémentaire, l'idée ne me traumatise pas plus que ça.
C'est d'ailleurs pour ça que j'ai été assez étonnée par ma propre réaction mise devant cette éventualité de "finalement on risque de ne pas tenter d'IAC". Mais avec un tout petit peu de recul, je pense que c'est surtout une question de bouleversement inattendu de ce sur quoi je m'étais projetée (je déteste qu'on vienne perturbée mes plans). Et je pense que je me suis aussi laissée influencée par le discours de mon copain qui était extrêmement négatif, mais sans que ce soit réellement sur le fond, c'est sa déception et sa culpabilité qui parlaient (bien que moi j'ai passé mon temps à lui répéter qu'il n'y avait aucun "responsable" de quoi que ce soit à rechercher, que ce n'était pas "à cause de lui" qu'on allait "m'imposer à moi" des trucs plus lourds).
Et c'est pour ça que maintenant, j'attends de voir avant de refaire le moindre plan, comme ça il n'y aura rien à bouleverser, on verra le moment venu !

Par contre en effet, ta gynéco était complètement à la ramasse là ... A la rigueur il n'y aurait eu que le "2ème IAC", bon ok, lapsus ou petite inattention ... Mais le coup de confondre stimulation simple et IAC, euh ... Je lui aurais aussi demandé de vérifier le nom sur le dossier patiente là
Tu as doublement carrément raison de ne pas suivre aveuglément ce qu'elle t'a dit pour le moment du déclenchement. (pour un peu qu'elle ait aussi oublié qu'on n'était pas mercredi ...)
A ta place j’appellerai le secrétariat pour poser la question (quitte à quand même suive ton idée ensuite si pas moyen d'échanger concrètement avec elle).
Sur "que faire le jour de l'IAC", clairement c'est psychologiquement que je pense avoir besoin d'être un peu au calme et d'en faire une journée plus axée sur moi que d'habitude. Et puis surtout, ma gynéco est à 10-15 minutes à pieds de chez moi, mais à 50 minutes en transports en commun du bureau ! Donc tant qu'il y a du télétravail, je ne vais pas me priver !
Pour l'éventualité d'un passage direct en FIV (ou du passage après quelques tentatives d'IAC), je suis entièrement d'accord avec toi, pour moi (à ce stade où je ne fais qu'envisager les choses, une fois qu'on le vit c'est peut-être très différent évidemment!) le plus pénible c'est toute la phase de stimulation, donc même si la ponction ça vient rajouter une lourdeur supplémentaire, l'idée ne me traumatise pas plus que ça.
C'est d'ailleurs pour ça que j'ai été assez étonnée par ma propre réaction mise devant cette éventualité de "finalement on risque de ne pas tenter d'IAC". Mais avec un tout petit peu de recul, je pense que c'est surtout une question de bouleversement inattendu de ce sur quoi je m'étais projetée (je déteste qu'on vienne perturbée mes plans). Et je pense que je me suis aussi laissée influencée par le discours de mon copain qui était extrêmement négatif, mais sans que ce soit réellement sur le fond, c'est sa déception et sa culpabilité qui parlaient (bien que moi j'ai passé mon temps à lui répéter qu'il n'y avait aucun "responsable" de quoi que ce soit à rechercher, que ce n'était pas "à cause de lui" qu'on allait "m'imposer à moi" des trucs plus lourds).
Et c'est pour ça que maintenant, j'attends de voir avant de refaire le moindre plan, comme ça il n'y aura rien à bouleverser, on verra le moment venu !